Auteur: Black Sabbath
Marque: Sanctuary Records
Caractéristiques:
- Record Label: Sanctuary Records
- Catalog#: 06025 2716846
- Country Of Release: NLD
- Year Of Release: 2009
Format: Enregistrement original remasterisé
Genre: Hard Rock & Metal
Date de sortie: 09-10-2009
Détails: Description du produit Digitally remastered edition of this 1973 album from the veteran Heavy Metal maniacs. From the grinding riff of the opening title track, the album showed that despite the band pushing back musical boundaries, they’d lost none of their aggression. ‘A National Acrobat’ and ‘Sabbra Cadabra’ (the latter, which featured Yes keyboard player Rick Wakeman) were equally heavy, imposing tracks, whilst ‘Killing Yourself to Live’ and the sci-fi themed ‘Spiral Architect’ rate as some of the band’s best tracks. And even if the excellent title track was curiously rarely featured in the band’s live set at the time, the gentle acoustic guitar work of ‘Fluff’ can still be heard as fans file out of Black Sabbath gigs the world over. Little wonder some claim Sabbath Bloody Sabbath is the greatest album that the ‘classic’ line-up recorded. This is an album that oozes class from start to finish. Sanctuary. 2009. Critique On peut reprocher beaucoup de choses à Black Sabbath (le caractère fruste de leur inspiration, une fascination pour l’ésotérisme, la sorcellerie et la magie noire proche de l’étude de marché, l’apparence caricaturale qu’ils offrent, par une consommation hystérique de substances illicites, de la musique de jeunes). Mais on ne leur tiendra jamais grief d’une quelconque dolence. Sabbath Bloody Sabbath, cinquième album en quatre ans, est un nouveau chef d’œuvre du genre et c’est autant de pierres dans le jardin des critiques méprisants. Tout commence par l’illustration de pochette, conçue par le roi de l’iconographie Drew Struzan. Cela se poursuit par une production confiée à Patrick Meehan (il serait plus exact de parler de direction artistique), manifestement désireux d’élargir le spectre sonore du groupe. Et on peut enchaîner avec un Tony Iommi ne se contentant pas de brandir sa guitare, mais sautillant gaiement de l’orgue à la cornemuse, en passant par le piano et la flûte, ainsi que l’invitation faite au clavier de Yes, Rick Wakeman, à participer à une poignée de chansons (même s’il s’égare par trop dans l’emphase technologique sur « Who Are You »). Si cela ne suffisait pas, les chansons (toutes signées par l’ensemble du groupe) s’avèrent d’une redoutable efficacité, et le quatuor semble tendu vers un propos unique : enregistrer un disque incontournable de l’histoire du heavy metal. Le caractère moral de l’histoire, c’est qu’ils y parviennent haut la main. Une fête de l’électricité en mode binaire… Sabbath Bloody Sabbath atteint la onzième position des classements de vente d’albums pop. Christian Larrède – Copyright 2019 Music Story
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