Auteur: Toriyama, Akira

Marque: Glénat Manga

Genre: Shonen

Nombre de pages: 185

Éditeur: Glénat

Date de sortie: 22-01-1997

Détails: Description du produit Sur Namek, le Commando Ginue a réuni les 7 Dragon Balls pour M. Freezer qui compte ainsi obtenir la vie éternelle. Végéta et ses nouveaux alliés, Sangohan et Krilin, ne pourront pas résister longtemps face à Recoom et sa bande. Heureusement, Sangoku arrive pour les sauver. Il semble investi d’une puissance surhumaine, serait-il le Super-Saïyen ? Voici la suite des aventures de Dragon Ball, le chef-d’oeuvre d’Akira Toriyama, qui a conquis le public français au point de devenir un véritable « phénomène de société. » Amazon.fr Les Dragon Ball, boules de cristal magiques, offrent à celui qui les détient la possibilité de réaliser tous ses voeux. Bien sûr la quête que mène Sangoku et ses amis pour les réunir n’est pas sans obstacles : tournois et combats rythment chaque tome de cette série-culte pour les jeunes adolescents. Scénarios et dialogues assez simples centrés sur la confrontation entre les différents protagonistes. Les textes se résument parfois aux cris des combattants mais le succès de la série dépasse largement cela, pour en faire un véritable mythe auprès de la jeune génération. –Nadia Picard Revue de presse Gohan et Krilin se sont alliés à Végéta pour contrer la terrible menace que représente le commando des forces spéciales de Freezer, mais malgré cela, ils sont impuissants…l’arrivée de Goku se fait plus que jamais attendre ! La quasi totalité du volume nous offre l’affrontement opposant nos héros associés à Végéta contre les forces spéciales de Freezer, mais c’est bel et bien le retour de Goku qui va être le point d’orgue du tome ! On l’attendait presque autant que les autres protagonistes (bien que nous, nos vies ne soient pas en danger), et il faut reconnaître que l’effet fonctionne sans mal ! La page pleine qui le présente sortant du vaisseau nous ferait presque hérisser les poils. Notre héros s’est entraîné durement pendant son voyage…et bien entendu il écrase de sa puissance les adversaires qui ont tant fait souffrir Krilin, Gohan et même Végéta…le gros problème c’est que c’est exactement la même chose que lors de l’arrivée des Sayans sur Terre : ses compagnons ont du lutter seuls en attendant son arrivé, ils ont tous frôle la mort et sont au pied du mur lorsque Goku arrive enfin, et ce dernier a encore incroyablement progressé, de sorte que les adversaires qui paraissaient invincibles soient vite écrasés. Un véritable copier-coller ! Et c’est vraiment dommage, car même si cela fait extrêmement plaisir de retrouver Goku, que quelque part, on ne peut s’empêcher de ressentir un petit frisson en le voyant écraser ses adversaires, il n’empêche que l’auteur nous avait habitué à mieux, lui qui avait su se montrer si original jusque là, se contente de reproduire le même schéma que lors de son arc précédent ! Il est dommage qu’une telle facilité vienne nuancer l’excellence de cette partie ! Heureusement la fin du tome efface cela avec un échange de corps qui permet des situations très comiques ! On sent la fin de cet arc se profiler doucement, et malgré une petite pointe de déception à cause de la redondance des événements, il demeure passionnant ! (Critique de www.manga-news.com) Biographie de l’auteur Grâce au célébrissime « Dragon Ball », Akira Toriyama est sans aucun doute l’auteur de manga le plus célèbre au monde. Il commence à publier ses premières histoires dans le magazine Shônen Jump dès 1980 avec « Docteur Slump » qu’il dessine pendant quatre ans. Il rencontre un succès mondial avec « Dragon Ball », publié dans le même magazine pendant 10 ans, de 1985 à 1995, totalisant plus de 8000 pages de bande dessinée. Une série magistrale qui le propulse parmi les plus grands. Il signe ensuite « Cowa » en 1998 et deux one-shot en 2000, « Kajika » et « Sand Land », publiés chez Glénat. Le studio que dirige Akira Toriyama s’appelle « Bird Studio » et en plus de la bande dessinée il a travaillé sur le design de personnages de jeux vidéo comme « Toruneko no daibôken » ou « Chrono Trigger ».