Auteur: Toriyama, Akira
Marque: Glénat Manga
Genre: Shonen
Nombre de pages: 177
Éditeur: Glénat
Date de sortie: 11-11-1998
Détails: Description du produit Les dragon balls sont des boules de cristal magiques. Celui qui les réunit invoque un dragon qui réalisera ses voeux. Sangoku, Dendé, Végéta et tous les protagonistes de cette grande saga tentent de trouver les sept dragon balls qui, une fois le voeu exaucé, s’éparpilleront à nouveau dans l’univers. Devenue un véritable phénomène de mode dès sa parution, cette série connaît un succès mondial auprès de toute une génération. Amazon.fr Les Dragon Ball, boules de cristal magiques, offrent à celui qui les détient la possibilité de réaliser tous ses voeux. Bien sûr la quête que mène Sangoku et ses amis pour les réunir n’est pas sans obstacles : tournois et combats rythment chaque tome de cette série-culte pour les jeunes adolescents. Scénarios et dialogues assez simples centrés sur la confrontation entre les différents protagonistes. Les textes se résument parfois aux cris des combattants mais le succès de la série dépasse largement cela, pour en faire un véritable mythe auprès de la jeune génération. –Nadia Picard Revue de presse Le combat contre Cell Bat son plein, et après un terrible affrontement, Goku a cédé la place à son fils Gohan. Mais ce dernier est impuissant jusqu’à ce que la colère le prenne et qu’il passe un nouveau stade d’évolution… plus rien maintenant ne semble pouvoir arrêter Son Gohan ! Voilà un volume qui ne peut que marquer les esprits, une génération entière se souviendra pendant des années de nombre de scènes de la série animée tirées de ce tome, à savoir le célèbre duel de Kaméhas réalisé par Cell et Gohan aidés par l’esprit de son père, sans oublier bien sûr les adieux du plus célèbre héros de manga de tous les temps…pas la peine de le citer, tout le monde sait de qui il s’agit ! Après une première partie de tome qui voit une nette domination de Gohan, les surprises s’enchaînent, nous sortant d’un cadre linéaire souvent inhérent à des affrontements. Le combat contre Cell aura eu beau s’étendre sur deux volumes entiers, il est plein de rebondissements. On trouve donc de nombreux grands moments dans ce volume qui marque la fin de l’arc le plus mythique de la série. Après plus de sept tomes, le combat contre les cyborgs et Cell se termine en grande pompe, dans un final qui marquera forcément les esprits, un final qui pour beaucoup aurait du être la conclusion de la série ; en effet, conclure ici aurait semblé logique, la transmission, l’héritage d’un héros à un autre était enfin scellé. Et malgré les mauvaises langues qui ne retiennent que certains défauts de l’animé où il est vrai que cette conclusion s’est avéré un peu longue, sur le format original, à savoir sur le manga, cette lutte est juste épique ! C’est donc avec une grande émotion qu’on lit ce tome, et peu importe que l’on connaisse la suite, l’émotion reste la même, et ça, c’est bel et bien le signe d’une parfaite maîtrise de l’auteur. En prime, en toute fin de tome, on assiste au retour de Trunks dans son futur alternatif, ce qui conclut définitivement cette partie…elle a commencé avec lui, elle finira avec lui ! Action et émotion se mêlent donc ici, pour un tome dont on se souviendra longtemps ! (Critique de www.manga-news.com) Biographie de l’auteur Grâce au célébrissime « Dragon Ball », Akira Toriyama est sans aucun doute l’auteur de manga le plus célèbre au monde. Il commence à publier ses premières histoires dans le magazine Shônen Jump dès 1980 avec « Docteur Slump » qu’il dessine pendant quatre ans. Il rencontre un succès mondial avec « Dragon Ball », publié dans le même magazine pendant 10 ans, de 1985 à 1995, totalisant plus de 8000 pages de bande dessinée. Une série magistrale qui le propulse parmi les plus grands. Il signe ensuite « Cowa » en 1998 et deux one-shot en 2000, « Kajika » et « Sand Land », publiés chez Glénat. Le studio que dirige Akira Toriyama s’appelle « Bird Studio » et en plus de la bande dessinée il a travaillé sur le design de personnages de jeux vidéo comme « Toruneko no daibôken » ou « Chrono Trigger ».
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