Auteur: Nietzsche, Friedrich
Marque: FLAMMARION
Édition: édition revue et augmentée
Genre: Philosophie
Nombre de pages: 445
Éditeur: Flammarion
Date de sortie: 27-03-2007
Détails: Présentation de l’éditeur Interroger le fanatisme de la vérité qui gouverne la philosophie, reconnaître la vie seule pour source de toute valeur, l’indépendance pour la vertu suprême du philosophe, et rechercher une réconciliation inédite de l’art et de la science : tel est pour Nietzsche le sens du gai savoir, de l’a idée provençale de « gaya scienza », cette unité du troubadour, du chevalier et de l’esprit libre par laquelle cette magnifique culture ancienne des Provençaux se distingue de toutes les cultures équivoques ». Unité de l’amor fati et de la philosophie de Dionysos, le gai savoir est la philosophie du oui à la vie, engendrée par la reconnaissance et l’aquiescement, qui culmine dans la pensée de l’éternel retour, présentée ici pour la première fois. Le Gai Savoir, publié en 1882, réédité et augmenté en 1887, constitue donc le prélude de Ainsi parlait Zarathoustra. « Je mets au rang des choses que je n’oublierai pas le fait qu’on m’a envoyé pour ce livre du « gai saber » plus de félicitations que pour tous les autres réunis. » Quatrième de couverture Interroger le fanatisme de la vérité qui gouverne la philosophie, reconnaître la vie seule pour source de toute valeur, l’indépendance pour la vertu suprême du philosophe, et rechercher une réconciliation inédite de l’art et de la science : tel est pour Nietzsche le sens du gai savoir, de l’«idée provençale de « gaya scienza », cette unité du troubadour, du chevalier et de l’esprit libre par laquelle cette magnifique culture ancienne des Provençaux se distingue de toutes les cultures équivoques.» Unité de l’amor fati et de la philosophie de Dionysos, le gai savoir est la philosophie du oui à la vie, engendrée par la reconnaissance et l’aquiescement, qui culmine dans la pensée de l’éternel retour, présentée ici pour la première fois. Le Gai Savoir, publié en 1882, réédité et augmenté en 1887, constitue donc le prélude de Ainsi parlait Zarathoustra. «Je mets au rang des choses que je n’oublierai pas le fait qu’on m’a envoyé pour ce livre du « gai saber » plus de félicitations que pour tous les autres réunis.»
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