Amazon.fr Takhiro Haruno et Mishibaru Shimoda (alias les Silent Poets) sont deux artistes secrets et introvertis. Originaires de Tokyo, ils ont collaboré avec des artistes de tous les horizons, tels Jimmy Jay, Ian Simmonds ou Coldcut. Sur leur nouvel opus, To Come, ils ont fait appel à Everton Nelson, arrangeur et violoniste pour Ryuichi Sakamoto, Sting ou Björk. Le résulat est une étonnante fusion de dub et de trip hop où des textes lyriques s’accordent à la résonnance particulière des cordes. Le son est ici une matière première brute retravaillée par la haute technologie. Un projet exigeant et conceptuel qui flirte avec le nouveau jazz. — Julien Guichard Critique Trip Hop. Une vague électro en provenance directe du pays du soleil levant, gorgée d’exotisme, lancinante à souhait, importée par la Yellow prod. Silent Poets nous présente son sixième opus, en mêlant l’accent jazzy au flow d’un hip hop new yorkais, en invitant Terry Hall ou Everton Nelson, arrangeur-violoniste apprécié par Björk, Sakamoto, Sting… L’alchimie s’opère en douceur, grave une perception pacifiste, voire zen, d’une technologie au service d’harmonies délicieuses, transmute le disque en un précieux métal. To Come pourrait même avoir une vertu thérapeutique, celle de ressourcer, d’oxygéner à pleins poumons des organes trop souvent asphyxiés. — Compact
To Come
4,80€ TTC
Amazon.fr Takhiro Haruno et Mishibaru Shimoda (alias les Silent Poets) sont deux artistes secrets et introvertis. Originaires de Tokyo, ils ont collaboré avec des artistes de tous les horizons, tels Jimmy Jay, Ian Simmonds ou Coldcut. Sur leur nouvel opus, To Come, ils ont fait appel à Everton Nelson, arrangeur et violoniste pour Ryuichi Sakamoto, Sting ou Björk. Le résulat est une étonnante fusion de dub et de trip hop où des textes lyriques s’accordent à la résonnance particulière des cordes. Le son est ici une matière première brute retravaillée par la haute technologie. Un projet exigeant et conceptuel qui flirte avec le nouveau jazz. — Julien Guichard Critique Trip Hop. Une vague électro en provenance directe du pays du soleil levant, gorgée d’exotisme, lancinante à souhait, importée par la Yellow prod. Silent Poets nous présente son sixième opus, en mêlant l’accent jazzy au flow d’un hip hop new yorkais, en invitant Terry Hall ou Everton Nelson, arrangeur-violoniste apprécié par Björk, Sakamoto, Sting… L’alchimie s’opère en douceur, grave une perception pacifiste, voire zen, d’une technologie au service d’harmonies délicieuses, transmute le disque en un précieux métal. To Come pourrait même avoir une vertu thérapeutique, celle de ressourcer, d’oxygéner à pleins poumons des organes trop souvent asphyxiés. — Compact
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